Restructuration
"Il faut choisir, se reposer ou être libre." (Thucydide).
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GÂCHIS REYNOLDS
Suppression des 256 postes de production sur le site de l'usine Reynolds de Valence qui fabriquait les stylos REYNOLDS (filiale du groupe Newell Rubbermaid). Ce blog tient une chronique, depuis Septembre 2005, des évolutions constatées dans la société, de la fermeture de l'usine et de l'après. Pour surfer, utilisez Firefox, un bon navigateur libre ! Powered by Blogger
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19 octobre, 2006D'autres lettres ...
Sur le forum, une personne a laissé un lien vers une question que M Labaune a posé le 10/10/2006 au ministre de l'emploi, de la cohésion sociale et du logement : M. Patrick Labaune souhaite attirer l'attention de M. le ministre de l'emploi, de la cohésion sociale et du logement sur les délocalisations d'entreprises implantées en France que notre économie subit. L'annonce récente de la fermeture et délocalisation de l'usine de l'entreprise Reynolds à Valence, alors même qu'aucune grande difficulté particulière n'en est à l'origine, est un exemple parmi tant d'autres, malheureusement. Des solutions viables existaient pour pérenniser les emplois à Valence et en France mais les dirigeants se sont montrés fermés au dialogue et n'ont pas cherché de solutions autres que la fermeture et la délocalisation. Il est donc temps de tirer la sonnette d'alarme et tous aujourd'hui, les responsables politiques, les chefs d'entreprises, les responsables syndicaux, doivent prendre conscience de cette situation catastrophique pour l'économie et l'emploi de nos régions et du pays. Face à cette situation, une politique volontariste est indispensable. En effet, il se demande si on peut accepter aujourd'hui la fermeture ou la délocalisation d'entreprises bénéficiaires, constituant des réserves et distribuant des participations aux bénéfices à ses salariés et des dividendes à ses actionnaires. Bien souvent, derrière ces décisions se cachent non pas des raisons purement économiques mais bien des logiques financières, faisant fi de la situation des salariés de ces entreprises. Aussi, il souhaiterait savoir quelles dispositions il entend prendre pour s'opposer aux délocalisations économiquement infondées, empêcher le démantèlement des outils industriels efficaces et soutenir activement dans ces cas-là la démarche des salariés, syndicalistes et élus locaux qui veulent faire émerger des solutions alternatives et innovantes. La réponse n'est pas encore disponible mais je crois qu'il faut néanmoins saluer l'initiative. La question est donc posée, même si cela ne s'est sans doute pas fait tous seul. M Piras, sénateur de la Drôme et maire de Bourg-lès-Valence avait quant à lui, dès le 26 septembre, écris à Messieurs Larcher, Loos, Borloo et Breton, respectivement ministres, délégué à l'emploi, délégué à l'industrie, de l'emploi et de l'économie. A priori, pas encore de réponse de ce coté là non plus. Désormais, au niveau local comme au niveau national, on ne pourra plus dire qu'on ne savait pas. posté par
DiogenePasCynique le 19.10.06.
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9 Commentaires:
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Ce cher Patrick a toujours su se retourner du bon côté. Aujourd'hui c'est Reynolds demain qien save? Il doit commencer à penser à 2008 et au retour à la mairie de Valence. Je ne peux pas croire que ses sentiments sont sincères c'est vraiment une vipère très très dangereuse et je ne lui fais pas confiance loin de là.
Pour revenir aux evenements de jeudi et aux conseils du consultant que j'ai lu hier sur ce blog, je voudrais alerter ce cher consultant sur les conseils qu'il donne. Cela peut s'appeler incitation à la violence et cela n'apportera rien à la situation sinon une possibilité aux actionnaires de fermer plus vite que prévu car mis en danger des salariés restant sur le site. N'oublions pas les paroles de CSLe bret qui explique en partie sa présence sur Valence pour "proteger" les quelques salariés Sanford Ecriture (une vingtaine) qui pourraient se sentir en dangeer....
hors sujet : vous avez fait sujet lors du débat des présidentiables
merci dsk pour t on discourt sur reynolds a ton debat du ps cela ma fait plaisir.
par contre les 2 clowns d amerloc se promenant dans les ateliers avec shreck cela n est pas de la provocation?(J ENRAGE!!)
poudre d'escampette. oui je cobnnais le second degré mais malheureusement il y a des personnes à Valence qui eux ne savent pas faire la difference et je trouve dommageable de leur donner de telles idées.
Arrete tout le monde connais le second degré. Même si l'on veut que les salariés Reynolds soit de futur chomeur, ils restent des gens plein d'humour et de recul sur les evenements. Pour demontrer cela, une magnifique affiche à vu le jour aujourd 'hui pour "feter notre entreprise.... On as tous une bonne raison d'en etre fier". Egalement un montage a la gloire de SHREK et FIONA veille sur notre pause café.
Toute les idées sont bonnes à prendre.
Continue et merci "e-consultant"
O fidel, c'est en se sauvant que CSLe bret "protége" les quelques salariés Sanford Ecriture.
Jeudi le groupe est passé dans les couloirs en croisant Casta et Cholet, pas un seul mot envers ces 2 personnes ni envers Targett qui était dans son bureau la porte ouverte.
Alors faut arrêter de raconter des conneries.
Dans la rubrique :
faisons connaissance avec ceux qui nous dirigent.
Dans un passé moins glorieux, Ricome a travaillé dans la fabrication de bougie d’allumage marque Eyquem et dans une boite qui fabriquait des machines genre illig.
Il a subit 2 licenciements, UN pour faute et UN économique.
Suivi d’une longue période de chômage.
Je pense que chez Reynolds il a voulu prendre sa revanche et se venger de la société.
christel:j'ai écouté DSK, je suis déçu, j'ai plus l'impression qu'il se sert de l'evénement Reynolds pour sa campagne , la suite de son discours (comme je l'ai l'entendu)n'est pas rassurant pour nous , il a presque le meme discours que Mons Labeaune ,il cherche déja a nous remplacer(je dis : le discours, lui?????)