GÂCHIS REYNOLDS
Suppression des 256 postes de production sur le site de l'usine Reynolds de Valence qui fabriquait les stylos REYNOLDS (filiale du groupe Newell Rubbermaid). Ce blog tient une chronique, depuis Septembre 2005, des évolutions constatées dans la société, de la fermeture de l'usine et de l'après. Pour surfer, utilisez Firefox, un bon navigateur libre ! Powered by Blogger Fil de news. Lien copier-coller dans votre lecteur de news. |
30 août, 2007Interview.
France-Bleu Drôme-Ardèche a interviewé deux acteurs de la lutte. Cela sera diffusé le jeudi 31 août à 7:00, 8:00, 9:00 et 12:00. Ce ne seront pas les mêmes passages, mais plusieurs parties d'une même discussion. Dernière minute ! L'interview a été reprise au niveau national, cet après-midi même (31/08/07) par France Info, ça déchire le steak , non ? ! Bonne écoute ! posté par
DiogenePasCynique le 30.8.07.
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2 Commentaires: |
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Au moins des auditeurs pour l'avoir entendu en roulant en voiture hier après midi 31/08 !
Je fais partie de ces gens qui préfèrent payer plus cher, mais qui préfèrent quand c'est possible acheter des produits de qualité "Made in France" et à défaut "Made in Europe" (que ce soit pour des produits courants, produits d'entretien, ou le chocolat !). Je suis fonctionnaire territorial d'une importante administration dans une grande métropole du "Grand Ouest". C'est pourquoi je vais relayer dès que possible cette information auprès du responsable des approvisionnements des fournitures de bureaux (pour 1000 personnes quand même). De façon à ce que la marque Reynolds soit écartée de tout choix de modèle de crayon. Je relaierai également le message auprès des élus concernés par les ouvertures de plis des marché publics (l'achat de fournitures de bureaux étant soumise aux règles de consultation publiques). Naturellement, j'ai commencé à diffuser cette info autour de mes proches. Pour des raisons d'obligation de réserve professionnelle, je ne peux pas mettre mon identité en entier. Cordialement, Daniel.
Bonjour à tous,
Je suis de tout coeur avec les licenciés mais on ne pourra plus revenir en arrière et il faut peut-être penser à ceux qui sont restés contraints et forcés parce non licenciés dans le cadre économique et parce que personne ne voulait prendre sa place. Je rappelle que c'était la condition sinéquanum pour partir. Oui je pense aux salariés de malissard. Eux sont encore là et le boycott pourrait précipiter leur départ. A mon avis cela ne fera pas revenir les autres alors un peu de solidarité avec eux. Quand quelqu'un "meurt" de maladie, contaminer le reste de la population ne préserve pas du virus.